"Jonathan Taplin, directeur émérite du laboratoire d'innovation Annenberg de l'université de Californie du Sud, affirme dans Move Fast and Break Things, son livre sur le pouvoir des géants de l'internet, que les artistes rebelles ont longtemps eu affaire à des "poursuivants" qui contrôlaient la distribution de leurs œuvres. Mais l'essor d'entreprises telles que Facebook et Amazon a considérablement accru les enjeux. "La concentration des profits dans la production des arts et de l'information a rendu vulnérables non seulement les artistes et les journalistes, mais aussi tous ceux qui cherchent à tirer profit du libre échange des idées et de la culture, face au pouvoir d'un petit groupe de ...", écrit-il.

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