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L'éthique des soins et la science des données radicales : une réduction inhumaine de l'humanité à ce qui peut être compté ?

Os Keyes est étudiante en doctorat à l'université de Washington et a participé à la première édition de la conférence de l'Union européenne sur les droits de l'homme. Boursière Ada Lovelace qui étudie le genre, les données, la technologie et le contrôle. Elle est titulaire d'un excellent message cette semaine qui m'ont fait réfléchir : la science des données a besoin d'orientations plus nuancées sur ce qui est mesuré dans tel ou tel ensemble de normes. Elle présente également Dean SpadeLe terme "violence administrative"Ce livre est une lecture obligatoire pour toute personne responsable de l'élaboration des politiques et de l'éthique des données. Il s'agit d'une lecture obligatoire pour toute personne responsable de l'élaboration des politiques et de l'éthique des données.

"Le maintien rigide de la hiérarchie et des normes est vraiment la raison d'être de l'État. Pour moi, mon éthique des soins dit que nous devrions travailler pour une science des données radicale : une science des données qui n'est pas contrôlante, éliminatoire, assimilatrice. Une science des données fondée sur la possibilité d'un contrôle autonome des données, sur la possibilité d'une pluralité de façons d'être. Une science des données qui préserve le contexte et ne punit pas ceux qui ne participent pas au système".

"La science des données est fondamentalement fondée sur une vision réductrice de l'humanité et sur l'utilisation de cette vision pour contrôler et normaliser les chemins que nos vies peuvent prendre, et elle ne répond aux critiques qu'en augmentant le degré de surveillance qu'elle exerce sur nous. Ainsi, une définition plus précise de la science des données serait peut-être la suivante : "La réduction inhumaine de l'humanité à ce qui peut être compté : La réduction inhumaine de l'humanité à ce qui peut être compté.. Et selon la logique normalisatrice de la science des données, ce suivi sera réducteur : Il ne suivra que les choses qui importent à ceux qui construisent les systèmes, de la manière qui leur est acceptable, en vous punissant lorsque vous vous en écartez. Pour ma part, mon éthique des soins dit que nous devrions travailler pour une science des données radicale : une science des données qui n'est pas contrôlante, éliminatoire, assimilatrice. Une science des données fondée sur la possibilité d'un contrôle autonome des données, sur la possibilité d'une pluralité de façons d'être. Une science des données qui préserve le contexte et ne punit pas ceux qui ne participent pas au système".

Ce sont tous des éléments à prendre en compte lorsque l'on réfléchit à la mise en place de comités d'éthique de l'IA, et plus particulièrement à la composition de ces comités et à la question de savoir qui fixe les normes pour nos systèmes de données.

Article invité par le conservateur de contenu de The Futures Agency Petervan

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