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Ce que le New York Times aurait pu être (via LinkedIn, Michael Moriz, Sequoia Capital)

Ce que le New York Times aurait pu être LinkedIn trouvé via François Mazoudier

Très bon article sur ce qui n'a pas fonctionné dans la stratégie numérique du NYT et sur ce que Naspers a fait de bien à la place. L'essentiel est, bien sûr, que le succès de Naspers était / n'est pas basé sur la "vente de contenu". Voici les meilleurs extraits (entendez l'ironie qui coule :)

En 2000 - il est vrai à l'apogée de la folie des dot.com - le New York Times avait des revenus de $3,6 milliards et un bénéfice d'exploitation de $635 millions. L'année dernière, ses revenus s'élevaient à 1,6 milliard de dollars et son bénéfice d'exploitation à 1,6 milliard de dollars. Son bilan s'effrite... Les progrès étonnants de Naspers contrastent fortement avec la situation critique du New York Times, exposée de manière répétitive et turlupinante dans le rapport d'activité qui a fait l'objet d'une fuite. Mémo de 97 pagesqui s'est apparemment déroulée sur six mois et qui se termine par l'annonce d'un nouveau projet de loi sur l'éducation.e l'idée novatrice que l'organisation devrait "envisager la création d'un groupe de travail chargé d'étudier ce qu'il faut faire pour devenir une salle de presse numériquement performante"." Outre la révélation d'un déclin de l'audience du web et du mobile, plusieurs autres aspects du rapport méritent d'être soulignés. Le premier est l'allusion constante aux des combats perpétuels entre les deux parties de l'organisation - les journalistes et les hommes d'affaires - comme si ni l'un ni l'autre ne reconnaissait qu'ils sont engagés dans une guerre de destruction mutuelle assurée ou que leur véritable Screen Shot 2014-06-03 at 14.51.40Les ennemis se cachent à l'extérieur de leur bâtiment. La seconde est la lutte de l'entreprise contre le fait que tes trois quarts de ses revenus proviennent d'abonnés proches de la mort. La troisième est la différence entre une entreprise dont les dirigeants sont nés sur le web et celles qui sont dirigées par des personnes qui ont du mal à se familiariser avec le web.... L'entreprise Le journal imprimé porte toujours le slogan "Toutes les nouvelles qui peuvent être imprimées" - un slogan qui est aujourd'hui si manifestement faux qu'il ressemble à une parodie empruntée à The Onion. Sur les 32 personnes figurant dans le mastère du Times (la liste de ses dirigeants), quatre sont mortes et aucun des titres ne comporte les mots "logiciel", "ingénierie", "conception" ou "technologie". Pour comble d'indignité, en plein milieu de la bannière de la page d'accueil du NYT.com figure la phrase, chargée d'un symbolisme erroné, "Today's Paper" (le journal d'aujourd'hui). Mais ce qui est le plus révélateur, c'est le choix des termes utilisés dans ce rapport de 97 pages. Le mot "logiciel" n'apparaît pas une seule fois dans le corps du rapport et ce n'est qu'à la page 63 que le mot "code" fait son apparition.

 

Quelques images assorties et connexes...

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